Étape 2 de création de Ma mort n'est la faute de personne
Comme pour la première performance, la morte accueille le public. Elle salue chacun par son nom au micro, puis tranquillement va s’installer dans sa « tombe–lit ». 3 louves, sont gardiennes du site, ambiance à la David Lynch. Tentative de représentation de l’enfermement en 13 tableaux. Jusqu’où l’immobilisme est-il possible ? Quelle parole de l’intérieur du cercueil ? LA VERF va inviter 6 personnes du public à vernir s’allonger à ses côtés. Plusieurs tentatives de dialogues : elle parle seule et l’invité écoute, elle parle et l’invité réagit, l’invité lit un texte, l’invité observe. Ils iront jusqu’à fumer et rire ensemble.
L’immobilité incite à la parole – production plus importante de textes – validation du rapport intime avec le public.
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